Je partage bien évidemment l’objectif de favoriser le report modal, notamment pour le transport de marchandises.
Comme l’a dit M. le rapporteur, l’un des cinq programmes prioritaires de la programmation des infrastructures qui fait partie de la loi d’orientation des mobilités prévoit d’investir 2, 3 milliards d’euros, dans les dix prochaines années, pour développer les modes de transport alternatifs à la route que sont le ferroviaire et le fluvial.
Pendant trop longtemps, on s’est donné des objectifs sans prévoir les leviers d’action.