Il est temps, comme l’a dit le président Retailleau, de s’attaquer aux racines du mal : « Sans ce travail, a-t-il expliqué, sans fermeté, sans une reconquête de l’école et des quartiers difficiles, sans une réponse immédiate […], rien ne pourra être résolu. » Monsieur le Premier ministre, la politique de l’autruche n’a que trop duré !