Je ne veux pas faire durer le plaisir, mais je défends une autre logique que celle qui sous-tend ces deux avis défavorables.
J’ai parlé de résilience, parce qu’il va bien falloir qu’on ouvre les yeux sur cette question. Il ne doit pas y avoir d’excès d’effluents d’origine agricole sur les territoires. L’avenir est dans la relocalisation de l’alimentation et dans la remise en place de systèmes de polyculture-élevage. C’est de cette façon que la résilience pourra fonctionner et qu’on pourra – j’ose le dire – sauver l’histoire.