La loi NOTRe a entraîné des bouleversements dans les relations entre les départements et les régions en matière de politique commerciale et de soutien à l'exportation. Avez-vous fait un bilan des conséquences de cette évolution ? Considérez-vous aujourd'hui comme un handicap l'absence de politique industrielle à l'échelon communautaire ?
Nous avons récemment auditionné les attachés d'ambassade. Eux n'ont pas peur des accords internationaux, de la réforme de la politique agricole commune. Pourquoi avons-nous peur ? Pourquoi ne sommes-nous pas capables d'être aussi bons que nos voisins ?