Madame la secrétaire d’État, c’est désespérant : vous semblez comprendre nos propositions, et parfois même les approuver, mais finalement vous émettez un avis défavorable…
D’après les quelques études préalables qui ont été réalisées, le surcoût lié à l’adaptation des logiciels de facturation ne serait que de 1 % à 2 %. Nous sommes prêts à retirer l’amendement n° 347 rectifié bis au profit de l’amendement n° 616, mais nous aurions été heureux que le Gouvernement fasse preuve de compréhension et émette un avis favorable.