Je pense que cette initiative relève plutôt des acteurs économiques privés, avec, bien sûr, un contrôle étroit du Gouvernement. En effet, les acteurs économiques du marché des pièces détachées pourront véritablement cibler leurs besoins en matière d’outils numériques et d’informations à rendre disponibles.
Le ministère chargé de l’industrie pilote déjà des groupes de travail qui vont pouvoir approfondir ces sujets dans le cadre du Conseil national de l’industrie. La question de l’économie circulaire est au cœur des travaux de celui-ci.
Je sollicite le retrait de cet amendement. À défaut, j’émettrai un avis défavorable.