Nous pensons qu’il est indispensable de passer par les éco-organismes. Il faut nous appuyer sur eux pour développer et structurer l’offre de réparation. Notre principal levier sera de fixer aux éco-organismes des objectifs clairs, mesurables et chiffrés en matière de réparabilité.
Nous voulons aussi réformer la gouvernance des filières REP – sujet qui sera abordé dans le cadre de l’article 8 –, afin de nous assurer qu’elles seront bien plus redevables qu’elles ne le sont aujourd’hui.
Toujours dans le cadre de l’article 8, nous aborderons aussi la possibilité de mettre en place des systèmes de bonus-malus dans le cadre des REP pour soutenir et encourager la réparabilité des produits.
Enfin, nous voulons que les éco-organismes travaillent de façon plus ciblée et plus efficace à créer des réseaux de réparateurs. Nous pensons que c’est plus ciblé et plus efficace que d’accorder un crédit d’impôt.
Pour ces raisons, et en attendant la discussion de l’article 8, j’émets un avis défavorable sur ces trois amendements.