La France est résolue à relever ces défis, à apporter des réponses à la hauteur de ces enjeux, détermination qui est manifeste quand on se rend à l’étranger, comme j’ai pu le constater à New-York lors de l’Assemblée générale des Nations unies.
Là-bas, contrairement à ce que vous affirmez, beaucoup de mes homologues, tout comme les responsables de l’ONU, se souviennent que le Président de la République, après l’annonce par Donald Trump de la sortie des États-Unis de l’accord de Paris, a heureusement repris le leadership pour conserver à cet accord toute sa portée.
Nous allons poursuivre notre action en défendant à l’échelon international un objectif de neutralité carbone d’ici au milieu du siècle, et en défendant le renforcement de notre ambition en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre dans tous les pays, spécifiquement en Europe, et ce d’ici à la COP de la fin de cette année au Chili et à la COP26.
Comme le Président de la République a eu l’occasion de l’indiquer à la tribune des Nations unies, aujourd’hui, les connaissances sont là, la mobilisation aussi. De plus, nous connaissons les solutions.