Mes excuses, monsieur le président, mais ce sujet est éminemment important.
Il n’y a pas de pays digne de ce nom sans paysan !
C’est pourquoi je tire aujourd’hui solennellement la sonnette d’alarme s’agissant de cette situation. Les décisions de demain sur les normes, sur les traités de libre-échange, seront lourdes de sens et auront des conséquences irréversibles sur l’avenir de la France.