Monsieur le ministre de l’intérieur, je suis au regret de vous dire que l’État fait preuve d’une naïveté coupable. Il faut passer des paroles aux actes !
Vous le savez très bien, aujourd’hui, vous ne pouvez pas continuer à vous défausser sur la société. L’État, lui seul, doit prendre toutes ses responsabilités, utiliser tous les moyens à sa disposition pour rendre cette lutte contre la radicalisation des esprits, qui gangrène tous nos territoires, beaucoup plus efficace.