Je vais le retirer, mais le message que nous envoyons aux communes susceptibles de se regrouper est mauvais.
Monsieur le ministre, je me souviendrai toujours d’un mariage entre deux communes, pour lequel le sous-préfet a assuré que tout allait bien se passer. Sauf que, trois jours plus tard, l’académie annonçait que l’école de l’une des communes serait fermée ! Naturellement, le mariage s’est arrêté là…
Si les maires délégués ne peuvent plus assister à rien, il n’y aura plus de mariage. C’est aussi simple que cela.
Les maires approchés par l’État pour se regrouper garderont présent à l’esprit ce qui aura été décidé ce soir dans cet hémicycle !
Cela dit, je retire cet amendement, monsieur le président.