Je vous remercie, madame la secrétaire d’État, de vos explications sur ce dossier complexe, et je prends acte des précisions que vous avez apportées.
Je serais tenté de dire que, pour ce qui concerne l’interopérabilité à l’échelon européen, il reste du chemin à faire ! La construction européenne se fait bien sûr au niveau des États, mais elle pourrait également se réaliser à un niveau très concret, par exemple en permettant qu’un camion soit taxé avec le même matériel d’un côté et de l’autre de l’ancienne frontière. Nous sommes encore loin du but !