Nous la communiquerons à la délégation parlementaire au renseignement, dont le président de votre commission est membre.
La suppression de l'INHESJ n'est vraiment pas le sujet du jour. Si elle faisait peser un risque sur notre capacité d'analyse, nous ne la déciderions pas. À l'inverse, si l'existence de cet organisme garantissait contre le risque terroriste, nous le saurions.