J'ajoute que je n'invite pas les fonctionnaires de police qui constatent des signes de radicalisation à passer par les syndicats pour les signaler. Ce n'est pas le rôle des syndicats, et mieux vaut un signalement direct aux personnes compétentes. Notre système est organisé pour qu'il y ait des responsables du suivi de la radicalisation partout.
Madame Jourda, je répète une fois de plus que nous avons révoqué des agents - six révocations ont été engagées dans la police depuis 2015 ; nous n'avons pas utilisé l'article L. 114-1 du code de la sécurité intérieure, parce que nous n'en avons pas eu besoin ; si nous avons besoin d'y recourir, nous le ferons. Ne cherchons pas à polémiquer sur ce sujet !