Monsieur le secrétaire d’État, au-delà des maux, que de mots !
Je vous invite à venir rencontrer avec moi les personnels, qui sont en très grande souffrance, de même que les usagers – une personne m’expliquait tout à l’heure que ces décisions l’obligeaient à se faire hospitaliser dans le privé.
Vous posez des grands principes, je vous parle de la réalité. Le Val-d’Oise n’a pas de CHU. Seriez-vous prêt à en soutenir un ?
L’hôpital de Beaumont est aussi lié à celui d’Aincourt, qui fut pendant la Seconde Guerre mondiale un camp d’internement, dont certains prisonniers furent ensuite transférés à Drancy. Aujourd’hui, ils sont prêts à déplacer la stèle commémorative !
Monsieur le secrétaire d’État, je vous invite à venir expliquer aux élus du Val-d’Oise en quoi ce que vous dites correspond à la réalité. Je pense que leur réponse sera de même nature que la mienne !