Or on ne peut pas justifier une telle contrainte aujourd’hui.
En revanche, j’estime que le couple exécutif maire-premier adjoint et vice-président-premier-vice-président s’impose en fonction non pas du sexe, mais d’une certaine connivence.
Il ne me paraît pas possible d’imposer le binôme un homme, une femme, à un maire qui aura besoin d’une connivence évidente pour pouvoir avancer sur ce sujet.
Oui à la parité dans toutes les communes, mais elle découlera de cette mesure.