Monsieur le directeur général, à l'inverse des jeux Olympiques et Paralympiques de 2024, très ciblés sur la région parisienne et Paris, la coupe du monde de rugby 2023 va concerner une dizaine de villes, l'objectif étant d'essayer de toucher le plus grand nombre de territoires.
Pouvez-vous nous expliquer le processus des camps de base ? Quels critères avez-vous définis ? Existe-t-il une volonté d'implanter des camps de base sur des territoires qui n'ont pas été retenus pour la compétition, mais qui ont peut-être tout intérêt à avoir une activité autour de la coupe du monde ?
La coupe du monde dure 45 jours, et vous avez proposé de garder l'ensemble des équipes jusqu'à la fin de la compétition. Les équipes éliminées pourront donc demeurer sur le territoire français et y pratiquer des activités. Pouvez-vous nous préciser votre objectif ? Avez-vous la garantie que les joueurs resteront bien sur le territoire ?
Vous espérez réaliser des bénéfices. Comment seront-ils répartis ? Qui, de la Fédération ou du GIP, sera chargé d'attribuer ces fonds ?