Monsieur le directeur général, j'ai apprécié vos propos liminaires sur le Japon. J'en parlais hier avec mon collègue Max Brisson, qui en revient. Nous nous réjouissons que tous les Japonais soient derrière l'événement, mais peut-être est-ce parce qu'ils craignent par-dessus tout de perdre la face. Pour un Japonais, c'est terrible.
Je voudrais également pousser un « coup de gueule » contre Daniel Herrero, et je souhaiterais que vous lui en fassiez part. Il a dressé de l'équipe de France un tableau qui ne fait pas honneur à un ancien rugbyman. Chacun devrait au contraire la soutenir. Je suis ravi que la réussite des Français prouve qu'il ne s'agit pas d'une petite équipe.
En matière sportive, on ne sait jamais ce qui peut se passer, et je suis convaincu que vous êtes en train de construire quelque chose de fort. C'est un ancien judoka qui vous le dit !
D'autre part, le fait de participer à un événement de ce type est fondateur. Les valeurs de la République se partagent à travers ce genre de mouvement.
Par ailleurs, pourquoi n'êtes-vous pas indemnisé comme Tony Estanguet pour les jeux Olympiques de 2024 ?
N'y a-t-il pas quelque chose à faire par rapport aux Jeux handisport pour mettre en valeur des gens qui jouent différemment ?
Enfin, qu'avez-vous prévu en 2023 s'agissant de manifestations comme celles des « gilets jaunes » ou autres ?