Ma question rejoint celle de M. Hugonet.
Je partage les valeurs du rugby, mais sa pratique connaît un certain essoufflement chez les amateurs, en particulier les plus jeunes. La rudesse du jeu n'y est certainement pas étrangère. La coupe du monde 2023, dont l'une des principales finalités est la promotion de cette discipline dans notre pays, prendra-elle en compte cette composante et saura-elle se faire l'écho d'un rugby d'évitement, dont la finalité n'est pas forcément la percussion, et où l'on ne s'en remet pas toujours au joueur le plus puissant physiquement ?
Il me semble que cette dimension est essentielle si nous souhaitons que cette coupe du monde ait la portée escomptée en matière de pratiques accrues.