En effet, en réalité, il ne peut pas y avoir de juste différenciation sans un principe de souplesse et de délégation. Si l’on refuse ce principe-là, nous serons à chaque fois obligés de légiférer pour redonner de la souplesse.
Le temps est venu de respecter l’état d’esprit qui est le nôtre : nous ne voulons plus de big-bang territorial, nous voulons donner plus de souplesse aux élus, pour que, grâce à une répartition juste des compétences, ils soient à la manœuvre.