Je m'associe aux propos de M. Poniatowski. Le chantier avance très lentement.
Le financement du plan de sécurisation des implantations à l'étranger a basculé l'année dernière sur le programme 723. Les crédits budgétaires ne sont plus prévus et le CAS 723 a fait une avance de crédits, qui devra être remboursée par les produits de cessions. Est-ce une mesure de bonne gestion quand les cessions ont été si faibles qu'il a fallu inscrire 7,5 millions d'euros dont 5 millions pour l'entretien lourd des ambassades et des consulats ?
Nous sommes inquiets pour l'avenir. Nous risquons d'être contraints de vendre les derniers bijoux du Quai d'Orsay, notamment notre ambassade à Londres.