Les interventions des sénateurs insistent sur les problèmes, mais cela n'enlève rien à la qualité de l'exposé du secrétaire général. Se pose la sempiternelle question du non choix entre la présence universelle et la montée en puissance des financements multilatéraux. Nous sommes dans un monde multilatéral, mais la position américaine est de plus en plus clivée. L'Unesco et l'Union européenne tanguent au détriment du bilatéral sur lequel devrait s'adosser la présence universelle. Jusqu'à quand ? On est arrivé aux limites de l'exercice.