Monsieur le directeur général, vous n'avez pas répondu à la question précise de notre président sur la Turquie. Jean-Marc Todeschini et moi-même avons commis un rapport très sévère sur ce qui se passe dans ce pays, à l'exception d'un point : nous avons reconnu que la Turquie faisait beaucoup pour les 3,6 millions de réfugiés syriens présents sur son sol. L'aide importante que vous consentez à la Turquie concerne-t-elle cette population ?