Madame la sénatrice Benbassa, je formulerai la même observation que Mme le rapporteur.
Évidemment, le rôle des associations est fondamental dans l’accompagnement des victimes, y compris pendant toute la procédure. Pour autant, je vous rappelle que, au civil, la demande est la chose des parties et qu’une association ne peut donc pas agir à la place d’une partie. Elle peut l’accompagner, y compris par une aide extrêmement précise, mais pas faire à sa place.
C’est la raison pour laquelle j’émets un avis défavorable.