Je vous remercie, madame la secrétaire d’État, de votre réponse, laquelle ne me satisfait pas pleinement.
La direction n’a jamais voulu investir sur ce site, comme elle aurait dû le faire depuis de nombreuses années, dans les pneus connectés, susceptibles de faire vivre l’entreprise. En ce moment difficile, salariés et élus ont besoin d’avoir, plus que jamais, l’État à leurs côtés.
Quel signe pouvez-vous nous donner à cet égard ? J’espère que la rencontre que j’aurai avec M. Glita et l’intersyndicale de Bridgestone jeudi prochain permettra d’aller dans ce sens.