Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, permettez-moi de paraphraser Corneille – pas le chanteur ! – et la tirade de Don Diègue, acte I scène IV du Cid, car j’ai l’impression qu’Emmanuel Macron est un peu le Don Diègue de la dette :
« La dette, qu’avec respect tout le marché admire,
« La dette, qui a tant de fois sauvé cet empire,
« Trahit donc ma querelle, et ne fait rien pour moi ? »