Ce n’est pas une explication de vote, monsieur le président.
Je veux juste souligner, à la suite de Pascal Allizard, l’importance de l’Onera pour notre pays en termes de souveraineté.
Quand on se regarde, on se désole ; quand on se compare, on se console, dit l’adage.
Si nous comparons deux organismes similaires en France et en Allemagne, l’Onera et le DLR, nous nourrissons des inquiétudes à l’égard du programme SCAF. En effet, une partie des études seraient confiées – j’utilise à dessein le conditionnel, madame la ministre, en attendant d’éventuelles précisions de votre part – à l’équivalent allemand de l’Onera, quand bien même l’office français a pris une avance considérable dans ce domaine. Nous ne comprenons pas ce choix…