Vous nous avez également interrogés sur notre rôle d'alerte dans ce dossier. Je précise que nous avons versé des fonds dans l'entreprise en mars 2018 et suivi, au plus près, la situation dès lors que nous avons mesuré les risques d'incertitude pensant sur Kosc. Je reconnais, en revanche, qu'il nous a fallu un certain temps pour mesurer pleinement les conséquences du désalignement actionnarial dans l'entreprise. Ce désalignement explique les freins dans la levée de fonds par la société-mère. Face à ce constat d'une impasse financière, il nous est alors apparu que la seule porte de sortie pour Kosc était d'accélérer son processus de transition plutôt que de la financer à perte, dans l'espoir de gagner du temps.