Les rapporteurs sont prudents dans leurs conclusions. Nous avons tous déjà remis notre vie dans les mains d'un robot, par exemple en prenant un avion sous pilotage automatique. La robotisation donne de la liberté, par exemple en nous affranchissant de l'obligation de conduire un véhicule, mais l'utilisation de ces technologies repose sur la confiance. Il en est allé de même avec les distributeurs de billets : on leur fait confiance car ils ne font pas d'erreur. Les robots vont se développer massivement. Sur le plateau de Saclay, on étudie aussi les commandes d'un robot par le cerveau. Il sera nécessaire d'envisager une régulation de la robotisation.