Bien entendu, mais notamment dans celui-ci…
On trouve, dans ce département, le cas de figure typique de communes qui se sont réunies au sein d’une commune nouvelle de 20 000 à 22 000 habitants, mais sans véritable ville-centre, sans centralité. Ces communes se trouvent exactement dans la situation décrite, et je rejoins les arguments de M. Richard : il s’agit d’une simple bascule de dotations. Il n’y a donc pas de perte, ou alors seulement marginale, pour l’État.
Cet amendement me semble donc raisonnable. Il tend à prévoir une sortie en sifflet, sur quatre ans. On pourrait évidemment imaginer des tas d’amendements différents, visant d’autres taux, mais celui-ci me paraît, je le répète, raisonnable.
Par ailleurs, je ne comprends pas l’argument consistant à dire que, lorsque les communes ont fusionné, elles connaissaient la loi, point final. Cela voudrait dire que la loi n’évoluerait jamais ? On fixerait les choses, une fois pour toutes, ad vitam æternam ?