Le Gouvernement souhaite bien sûr maintenir le calendrier de la réforme fiscale proposée en PLF et adoptée par l’Assemblée nationale, c’est-à-dire une entrée en vigueur en 2021.
Dans ces conditions, rien ne justifie la suppression du rapport demandé par les députés pour juillet 2020. Le calendrier proposé par l’Assemblée nationale est en outre parfaitement synchronisé avec les travaux qui seront menés par le Comité des finances locales au premier semestre 2020.
Le Gouvernement est donc défavorable à ces deux amendements identiques.