Monsieur le sénateur, nous sommes d’accord sur le fond. Je dis simplement que, à ce stade, le bon levier n’est pas forcément l’élaboration d’une loi de programmation.
Le Pacte productif, auquel le Sénat est associé – M. Chatillon le représente dans le groupe de travail sur l’industrie, qui établit des trajectoires de décarbonation pour un certain nombre de filières –, fait partie des éléments que nous pourrons soumettre au débat à l’Assemblée nationale comme au Sénat.
Nous avons bien compris que les deux chambres du Parlement étaient vivement intéressées par le sujet. Je ne doute pas que les discussions vont se poursuivre. Anticiper est un objectif légitime partagé par tous, y compris par le Gouvernement, qui en fait une priorité.