Sur le principe, rien ne s’y opposerait, d’autant que ces données ne servent en rien le contrôle fiscal.
Simplement, dans les dispositifs que nous avons vus, y compris dans le renseignement, il y a toujours un délai minimal, le temps que l’administration puisse trier les données. On pourrait prévoir une suppression intervenant « le plus rapidement possible ».