Nous entendons la position développée par les représentants de l'Assemblée nationale. Il y a un doute sur la constitutionalité de l'amendement que nous avons présenté, mais nous pensions qu'il était opportun de laisser le juge constitutionnel trancher, considérant l'importance de la question de la répartition des sièges entre les communes, en particulier de la place des communes intermédiaires qui se trouvent souvent lésées. Nous regrettons que cela ne soit pas pris en considération.
La proposition de rédaction n° 8, mise aux voix, n'est pas adoptée.