La situation que vous évoquez fera l'objet d'un traitement dans la suite de la discussion.
Le couple peut consentir de son vivant à ce que, si l'un de ses membres décède, l'embryon conservé soit accueilli par un autre couple ou par une autre femme. Dans le texte de l'Assemblée nationale, c'est le membre survivant qui donne son consentement. Or c'est le couple quand il est encore constitué qui doit donner son accord. Il s'agit vraiment d'un problème rédactionnel.
Quant au problème que vous évoquez, mon cher collègue, nous en débattrons plus tard dans le fil de la discussion.