L'amendement adopté par l'Assemblée nationale n'a pas eu pour but d'interdire l'épandage, mais de le sécuriser. L'échéance du 1er juillet 2021 est tenable et souhaitable, les travaux ayant déjà débuté. Nous ne pouvons plus ignorer les scandales de pollution des sols. De surcroît, la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA) m'a confirmé qu'elle était satisfaite du dispositif.