S'agissant des pompiers, notre modèle est effectivement à bout de souffle, comme celui des hôpitaux - la crise est commune et la solution se trouve dans la réorganisation des deux secteurs. Les départements sont déjà à la manoeuvre pour mutualiser, réaliser des économies et, si les pompiers paraissent parfois comme les enfants gâtés de la République, leurs demandes ne sont pas illégitimes, dès lors que l'on attend d'eux qu'ils assurent plus d'urgences. Nous souhaitons qu'ils disposent de ressources supplémentaires.