Ce qui ne fait pas partie du débat, ce sont les attaques ad hominem.
De fait, c’est la confrontation des idées, tantôt tranquille, tantôt vigoureuse, toujours sincère, qui fait l’essence même de la politique. N’ayons donc pas peur d’une conflictualité qui reste dans le cadre d’un débat serein.
Quand on ouvre un droit, il faut qu’il soit universel.