Je ne ferai pas montre de la même rigueur argumentaire que vous, monsieur le sénateur Malhuret, et vous prie de m’en excuser par avance. Je me permettrai dans un premier temps de rappeler la logique de cette privatisation et d’expliquer pourquoi cette opération est nécessaire pour l’entreprise, bénéfique pour notre souveraineté et notre sécurité ainsi que déterminante pour l’économie française. §J’aborderai dans un second temps l’organisation du référendum, qui est au cœur du débat d’aujourd’hui.
Revenons un court instant sur Aéroports de Paris.
Aéroports de Paris n’est ni un monopole national ni une entreprise stratégique.