Mme Agnès Buzyn, ministre. Il s’agit là non pas d’adopter une vision punitive, mais d’assurer un accompagnement adapté à chacun, certains de nos concitoyens n’étant pas en mesure, nous le savons, de travailler. Les grandes associations de lutte contre la pauvreté soulignent qu’il est très positif, pour les bénéficiaires de ces allocations, d’être accompagnés vers l’emploi et l’insertion.