Madame la secrétaire d’État, je vous remercie de votre réponse technique, mais la méthode du Gouvernement en matière de concertation est bien connue : souvent, les acteurs sont mis devant le fait accompli au moment des conclusions. La vigilance est donc de mise, notamment pour toutes les associations concernées.
Concernant les AVS et, maintenant, les AESH, nous sommes dans une période où l’on parle beaucoup de pouvoir d’achat et de fins de mois difficiles. Or beaucoup de ces employés vivent aujourd’hui avec moins de 700 euros par mois. Il faut responsabiliser et accorder davantage de reconnaissance à ces professionnels à qui est confié le devenir de nos enfants en situation de handicap.