L'agriculture urbaine constitue effectivement une opportunité de diversification des modes de production. Elle ne pourra, toutefois, remplacer les 11 milliards d'hectares dévolus par exemple aux grandes cultures céréalières aujourd'hui. Il s'agit d'un complément intéressant, qui remplit aussi une fonction sociale, en reconnectant le consommateur urbain avec les enjeux de l'agriculture.