Nous nous réjouissons de votre volonté de ne plus mettre la poussière sous le tapis, madame la ministre.
Vous avez évoqué tous les acteurs dans votre intervention, sauf peut-être les parents... Or beaucoup de responsables associatifs nous disent que le bénévolat s'est tari, et que les parents participent moins qu'avant à la vie des clubs.
Ne faudrait-il pas essayer de les solliciter davantage ? Je suis convaincu que cette présence parentale renforcée serait de nature à paralyser les prédateurs, dont la principale caractéristique est la lâcheté.