Je me permets d’insister, car la question de l’artificialisation des terres agricoles, naturelles et forestières devient sans cesse plus aiguë. Il est important que la société civile ait son mot à dire. Certes, nous représentons les élus locaux, mais la pression qui s’exerce sur eux est parfois si forte qu’ils finissent par céder.
La composition des CDPENAF est aujourd’hui parfaitement équilibrée. Ces commissions n’entravent pas le développement, bien au contraire ! Elles devraient même être encore plus fortes. L’adoption de cet article serait, je le répète, un très mauvais signal donné par notre assemblée, mais je ne doute pas que mon amendement sera adopté…