Dans mon groupe, j'insiste souvent pour que l'on étudie la nature des conflits gelés. Je suis allée avec Pascal Allizard puis René Danesi en Géorgie, où l'on constate en effet que les frontières bougent et que les gouvernements ne peuvent pas réagir. Nous devons porter ce sujet le plus fort possible. S'agissant des prises de paroles répétitives, je suis membre de l'Union interparlementaire (UIP) et nous connaissons aussi les prises de paroles mécaniques de certains pays et les déclarations sans rapport avec le sujet. C'est un mal que nous subissons au nom de la diplomatie parlementaire internationale.