Je commencerai par l’amendement n° 99 du président Philippe Bas : cette proposition méritait d’être présentée, je l’approuve bien volontiers. En plus d’être un amendement de cohérence, c’est un amendement de clarté dans l’intitulé de ces fonctions.
S’agissant de l’amendement n° 32 présenté par Jean-Yves Leconte, je pense que le report d’un an pourrait être interprété comme ouvrant une discussion sur le report des élections municipales d’un an. Par analogie avec nos réflexions, il me paraît plus cohérent de travailler sur un report au plus tard au 30 juin, comme il est proposé pour les élections municipales, et de ne pas repousser d’un an une élection importante, qui est dématérialisée, pour l’essentiel, dans sa traduction opérationnelle.