Philippe Adnot me connaît suffisamment – nous avons eu souvent l’occasion de travailler ensemble – pour savoir qu’il ne s’agissait pas pour moi de porter un jugement de fond sur sa proposition. Si mes propos ont pu le choquer, je les retire bien volontiers.
En fait, je voulais surtout rappeler toute l’importance que le Gouvernement attache à la question de la péréquation et souligner qu’il a même été à l’origine de ce nouveau mouvement de péréquation. Pour autant, je ne crois pas indispensable d’inscrire aujourd’hui l’ensemble des avancées qui sont envisageables parce que nous ne sommes pas encore en mesure d’avoir une vision globale parfaitement claire en la matière.