Monsieur le ministre, comme je l’ai indiqué tout à l’heure, je suis prêt à modifier ce sous-amendement s’il est établi que multiplier par deux la contribution au FSRIF sur trois années est trop brutal. En revanche, je tiens à ce qu’il soit inscrit dans la loi que les ressources de ce fonds devront augmenter à l’avenir.
Le rapporteur général l’a souligné : il est bon, de temps en temps, de fixer des objectifs très ambitieux. Par conséquent, pour que ce sous-amendement puisse recueillir l’approbation du Gouvernement et être voté, je suis prêt à le rectifier en prévoyant une progression de 50 %.
Ce qui est sûr, c’est qu’il ne me semble absolument pas possible que nous en restions à la situation qui prévaut depuis 2009.