Je vous remercie, monsieur le ministre, de cette réponse.
Ce que nous constatons sur le terrain, c’est que, dans ma région du moins, nous travaillons bien avec l’État, avec le préfet et avec l’ARS, mais que les préfets ne se parlent pas forcément entre eux, non plus que les ARS entre elles, et que les premiers n’échangent pas toujours avec les secondes, que ce soit sur cette question des masques ou sur d’autres problèmes.
Il s’agit d’une question non pas d’achat ou d’approvisionnement, mais de coordination. Face au coronavirus, nous avons besoin d’une équipe soudée. Elle l’est. Mais il nous faut aussi un bon entraîneur : l’État !