Vous avez indiqué que la situation sanitaire en Afrique était contenue. Pourtant, des millions d'emplois sont d'ores et déjà menacés. Les secteurs du tourisme et du transport aérien sont particulièrement touchés. Les cours des matières premières sont en chute libre et les transferts des différentes diasporas sont en forte baisse. Ne pensez-vous pas que la récession économique de ses principaux partenaires soit le plus grand risque que court l'Afrique ?